Les chiens les plus célèbres du cinéma
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Le chien étant le meilleur ami de l’homme depuis des milliers d’années, il ne pouvait devenir qu’un formidable compagnon du cinéma. En France, Belle et Sébastien en est sans doute le plus bel exemple.
Les chiens les plus célèbres du cinéma
Pas moins de trois films ont adapté avec succès la série créée par Cécile Aubry en 1960, remettant au goût du jour l’histoire d’amitié entre le jeune garçon et la chienne de montagne des Pyrénées. Retour sur ces chiens stars qui ont fait les beaux jours du grand écran.
Uggie, l’artiste canin
Uggie (c’est son vrai nom) est peut-être la plus grande star canine de l’histoire du cinéma. Ce petit Jack Russell terrier a fait plusieurs apparitions à l’écran dans What’s Up Scarlett (2005), Mr. Fix It (2006) ou De l’eau pour les éléphants (2011) notamment. Mais il atteint le sommet de sa gloire à la sortie du film multi-oscarisé, The Artist (2011) dans lequel il « interprète » le compagnon fidèle de George Valentin, acteur du cinéma muet, joué par Jean Dujardin. Le triomphe international du film vaut notamment à ce petit Russell une « Palme dog » et un « Collier d’or ». Uggie a même eu le privilège d’apposer l’empreinte de ses pattes sur le fameux Walk of Fame d’Hollywood, aux côtés des plus grandes stars – humaines – du cinéma. Son décès en août 2015, à l’âge de 13 ans, a été relayé par de très nombreux médias à travers le monde.
Beethoven, le classique
En 1992, Beethoven marque le début d’une franchise à succès qui donnera lieu à huit longs métrages. Elle constitue à ce jour l’un des plus gros succès canin du cinéma américain (plus de 300 millions de dollars cumulés au box-office). L’histoire relate les péripéties d’un sympathique saint-bernard qui, à la suite du cambriolage d’une animalerie, se retrouve hébergé par la famille Newton. Surnommé Beethoven parce qu’il a la particularité d’aboyer à l’écoute de la 5e symphonie du compositeur, le chien va devenir le confident des enfants et le substitut des parents.
Parfaits pour attendrir la famille pendant les vacances de Noël , la saga offre en prime l’occasion de (re)découvrir l’artiste Bonnie Hunt, devenue trop rare au cinéma. Plus connue sous les traits de Sarah Whittle dans Jumanji, elle interprète le rôle d’une mère douce et bienveillante.
Pongo et Perdita, Les 101 dalmatiens
Pourquoi se contenter d’un chien lorsqu’on peut en avoir une centaine à la maison ? Disney opère une multiplication des toutous en sortant, en 1961, le dessin animé Les 101 Dalmatiens, adapté du roman éponyme de Dodie Smith. L’histoire raconte la coparentalité mouvementée d’un couple de dalmatiens londonien, Pongo et Perdita, dont les petits sont kidnappés par la terrible Cruella d’Enfer, qui rêve d’en faire le plus beau des manteaux de fourrure.
L’univers des 101 dalmatiens a connu un tel succès auprès du grand public qu’un film tourné en prises de vues réelles (live action) a vu le jour en 1996, suivi d’un remake, Les 102 Dalmatiens. Dans le rôle de la super méchante, on trouve une formidable Glenn Close, métamorphosée, qui réussit à effrayer petits et grands.
Les studios Disney n’en étaient pas à leur coup d’essai avec Les 101 Dalmatiens. La Belle et le Clochard, sorti en 1955, contait déjà les aventures d’une chienne de bonne famille, Lady, tombant amoureuse d’un bâtard des caniveaux, Clochard. On garde tous en mémoire la scène du baiser entre les deux « tourtereaux », autour d’un délicieux plat de pâtes de chez Bandito, aux sons de l’accordéon jouant « Bella Note ».
Shadow, le golden retriever
Autre icône du cinéma américain : Shadow le golden retriever, héros de L’incroyable voyage. Dans une alliance contre-nature comme les aime le cinéma, le chien star est accompagné de Sassy, une chatte himalayenne, et de Chance, un bouledogue. Abandonnés par leurs maîtres, partis travailler à l’autre bout du pays, cette bande d’animaux rusés va entreprendre un long voyage pour les retrouver.
Audacieuses épopées écrites pour le jeune public, ce film et sa suite sont légers et attendrissants, dans la veine des Beethoven. La franchise en est d’ailleurs l’héritière, puisqu’elle surfe sur la fascination des Américains pour les films animaliers au début des années 1990.
Didier, l’homme labrador
Changement de style complet : comment ne pas citer Didier, le chien le plus drôle et improbable du cinéma français ? Interprété par l’acteur et réalisateur Alain Chabat, ce personnage absurde a fait rire la France entière en 1997. L’histoire emprunte aux codes de la comédie potache avec une dose de fantastique : un agent de football accepte de garder le labrador de sa sœur, le fameux Didier. Mais en pleine nuit, le chien se métamorphose en humain, sans perdre aucun de ses réflexes canins. Ce film hilarant marque le box-office français de 1997 avec près de 3 millions d’entrées et permet à Alain Chabat d’empocher le César du meilleur premier film, lui ouvrant par la même occasion les portes du cinéma hexagonal.
À propos : si vous cherchez plus d’idées de films qui ont du chien (ou si vous êtes plutôt chats, lions ou dauphins…), faites un tour sur notre Cinematcher. Il trouvera en un instant le film ou la série qu’il vous faut !
@Antoine_corte
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